J'aime cette zone limite sable- eau- ciel qui fait la particularité de certains caps... Tout d'un coup , la limite atteinte , tout se dessine , lignes de nuances-plus de lignes, transparences - contre-jours,une abstraction , ou un fourmillement de possibilités, car c'est la vague qui rythme et ramène le regard vers l'infiniment petit du grain de sable, à l'algue, aux cailloux , aux rochers. Dans mon paysage-océan se reflète la quête d'autres paysages, celui des aspérités, ou des anfractuosités,1
J'aime cette zone limite sable- eau- ciel qui fait la particularité de certains caps...
Tout d'un coup , la limite atteinte , tout se dessine , lignes de nuances-plus de lignes, transparences - contre-jours,une abstraction , ou un fourmillement de possibilités, car c'est la vague qui rythme et ramène le regard vers l'infiniment petit du grain de sable, à l'algue, aux cailloux , aux rochers.
Dans mon paysage-océan se reflète la quête d'autres paysages, celui des aspérités, ou des anfractuosités, où se reflètent à nouveau le paysage - rêve, celui de la vie marine qui va de la sirène, au caillou -bijou, en passant par les pastels détrempés, aux maillots oubliés, aux parasols rayés , aux pontons, et aux traces des pas mouillés.Le bout de cela... comme une marche tranquille.
Cependant, les eaux montent, ravagent le littoral, grignotent ou avalent des pans de dunes, menaçant habitations , urbanisation têtue, la disparition est possible!!. Scientifiques et médias, associations et pouvoirs publics sont en alerte, la promenade , un jour sera impossible .
Cela il faut le savoir devant la beauté ou la majesté du CAP.